J'ai été verbalisé sous prétexte que le certificat d'assurance apposé sur mon pare-brise était périmé.
La marée-chaussée m'agresse, les portes de votre agence sont closes le lundi matin; quant à moi je suis saisi d'un doute : être ou ne pas être assuré !
L'automobile a freiné devant moi. J'ai ralenti. Il a stoppé. J'ai freiné. Il est reparti. J'ai redémarré. Il a freiné de nouveau. J'ai levé le pied aussitôt. Il regardait à droite. Je regardais devant moi. Tout ça pour vous dire que j'ai fini par le heurter à l'arrière.
Préférez-vous que je vous règle mon assurance incendie avec un mois de retard ou que je vous adresse un chèque sans provision ?
Je conduisais ma voiture depuis quarante ans lorsque je me suis endormi au volant et que j'ai eu cet accident !
Une voiture invisible est arrivé de nulle part, a frappé mon véhicule et est disparue !
Vous savez que je ne suis pas un homme à histoire. Je n'ai pas protesté quand le chien d'à côté a sauté à la tête de mon fils et lui a fait tomber ses lunettes. Je les ai réparées tant bien que mal avec de la crazy glue mais j'en ai trop mis, ça a coulé sur les verres et depuis, mon fils n'arrête pas de loucher.
Pensez-vous que je puisse me faire payer des lunettes neuves par le propriétaire du chien ?
Je confirme que c'est bien l'un des chasseurs qui a tué mon chien d'un coup de fusil.
J'ai déposé plainte à la gendarmerie, je vous ai adressé ma déclaration, j'ai envoyé une lettre de réclamation au responsable.
La balle est maintenant dans le camp de ce tireur fou.
Tout a brûlé dans la cuisine. Le saumon frais est même devenu fumé.
Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance vie.
Je suivais une voiture quand celle-ci s'est arrêtée à un feu rouge à ma grande surprise.
Je me suis foulé le poignet en sucrant les fraises.
Je ne vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l'autre ne savait pas conduire non plus.
Mr X m'a blessé au pied en me donnant un coup de main pour scier du bois.
Ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure mais c'est rien, le docteur y a mis des infectants.
En reculant, j'ai malencontreusement heurté un piéton avec mon pare-chocs qui a été touché à la jambe gauche.
Je me suis coupé la main droite en bricolant. La gauche n'est pas mal à droite, mais elle travaille quand même plus lentement.
En se relevant, le cycliste n'a formulé aucune déclaration intéressante au sujet de la collision. Il se contentait de répéter "Aïe, aïe, aïe" sur tous les tons.
C'était jour de verglas. Je circulais très lentement dans ma voiture, quand le piéton m'a doublé à toute vitesse, par la droite et sur les fesses.
Le témoin est venu témoigner comme quoi il n'avait rien vu et rien entendu.
Mon fils ne peut être civilement responsable de cet accident puisqu'il est militaire.
Ma femme m'a laissé seul pour aller habiter ailleurs. Faut-il communiquer à mon assureur le nom de la personne qui vit maintenant avec moi ?
Ne pensez-vous pas qu'il y a un peu d'abus ? Mon accident n'est toujours pas réglé, alors qu'il est survenu le 30 février dernier...
L'accident s'est produit alors que je suivais la voiture qui me précédait et que je précédais celle qui me suivait.
Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m'indiquer la marche à la suivre.
Après l'accident, l'autre automobiliste n'arrêtait pas de répéter :
Je suis prioritaire, je suis prioritaire... Entre nous, il n'y a pas de quoi en tirer vanité. Pour être prioritaire, il suffit de venir par la droite. C'est à la portée du premier imbécile venu.
J'espère que vous n'aurez aucune difficulté pour exercer un recours et récupérer ce qui m'est dû. En effet, bien qu'il ne soit pas assuré, ce monsieur a les moyens. On dit qu'il est propriétaire d'une fabrique de chaussures qui marche bien.
Je vous demande de bien vouloir apporter une petite modification aux conditions particulières de mon assurance habitation. En effet, je suis bien le père des enfants de la dame qui vit avec moi, mais je ne suis pas encore son mari.
La foudre est tombée sur le hangar et a endommagé la toiture.
Depuis notre mariage, c'est le deuxième coup de foudre que nous subissons.
Si je comprends bien, vous indemnisez mon adversaire avec l'argent de ma prime. C'est trop facile d'habiller Paul quand on déshabille Pierre.
J'avoue que j'ai traversé le carrefour sans regarder s'il venait quelqu'un, mais j'étais passé à ce même carrefour moins d'une heure auparavant et il n'y avait personne.
Voulez vous me dire le prix de l'assurance si j'achetais une voiture alors que je n'ai pas le permis de conduire.
Je vais prêter ma voiture à quelqu'un qui ne sait pas trop s'en servir, mais avant pouvez-vous me confirmer que vous paierez les pots cassés pour les accidents qu'il ne manquera pas de provoquer ?
J'ai tapé le trottoir en glissant sur une plaque de verglas et j'ai cassé ma gente et mon bras gauche.
Ma voiture gênant la circulation, un portugais m'a aidé à la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail.
Si vous n'augmentez pas mes prestations, je vais être obligé de recommencer à travailler.
Étant chômeur et sans secours, je me suis ramassé un peu de tôle dans la cour à ferraille pour faire manger les enfants.
Ma voiture a été heurtée, alors qu'elle était en stationnement, par un automobiliste qui effectuait une marche arrière. En rédigeant le constat amiable, j'ai commis une erreur : j'ai signalé que j'étais à l'arrêt et non en stationnement. Puis-je faire marche arrière ?
Je suivais la voiture qui me précédait qui après que je l'ai dépassé m'a suivie. C'est alors, qu'elle m'a choqué en plein derrière et m'a forcé par la choquer mais aussi le derrière de celle qui était devant.
Excusez pour la gribouille de ma déclaration, mon crayon marchait pas j'ai plus de stylo bille car n'est-ce pas quand on part on ne pense jamais avoir un accident sans ça on prendrait ce qu'il faut.
Le camion continua sa marche lugubre pour aller se jeter dans le ravin.
Je ne vois pas pourquoi vous refusez de prendre mon accident en charge à cause que je n'ai pas payé ma cotisation, puisque l'autre année, j'avais payé et j'avais pas eu d'accident.
Le cycliste zigzaguait sur la route, tantôt à gauche, tantôt à droite, avant que je puisse le télescoper.
Monsieur, j'ai l'honneur de vous déclarer que je viens de faire mon cinquième accident de l'année. Vous pouvez dire que je suis dans la poisse. Mais vous noterez que pour mon troisième, j'étais pas dans mon tort.
Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j'ai du vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
En qualité du plus mauvais client de votre agence (neuf accrochages en un an), je vous demande d'avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d'échéance.
Mon fils va prendre des cours pour piloter un petit avion. Je voudrais savoir si les assurances que j'ai chez vous le garantissent contre le vol ?
J'ai bien reçu, successivement, votre lettre sur papier blanc, votre recommandée jaune, votre billet vert, mais maintenant j'aimerais bien savoir où nous en sommes exactement.
J'avoue que mon fils est responsable de cet accident, mais il faut aussi noter que cette personne s'est conduite de façon fort cavalière : elle est même montée sur ses grands chevaux pour me faire la morale.
Il s'agit d'un témoin fort respectable et tout à fait digne de bonne foi. Je signale du reste qu'il était fort bien mis, portant cravate et costume croisé.
Tout d'abord je vous dis bonjour, ensuite je vous dis que je vous écris pour vous dire qu'une dame m'a dit que j'avais éraflé sa voiture avec mon vélo.
La cause indirecte de l'accident est un petit homme, dans une petite voiture, avec une grande gueule.
Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n'est pas ma faute si j'ai renversé ce cycliste : je ne l'avais pas vu.
J'ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l'automobiliste. J'espère que vous serez content et que vous pourrez faire un petit geste en m'accordant un bonus supplémentaire.
Je suis entré en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m'ont paru terriblement limités. J'ai donc eu la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m'est particulièrement favorable. Je pense que vous m'en saurez gré.
J'ai frappé un camion immobile qui venait dans la direction opposée. Pour éviter de frapper le pare-choc de la voiture devant moi, j'ai frappé le piéton.
Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n'y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d'un accident.
C'est vrai que le camion allait très vite quand il a heurté la voiture de Mr X. Je suis prête à témoigner en faveur de ce monsieur qui est justement le patron de mon mari. Vous voyez que je ne suis pas rancunière.
J'étais bien à droite et en me croisant, l'adversaire qui prenait son virage complètement à gauche m'a heurté et maintenant, il profite de ce que j'avais bu pour me donner tous les torts. Honnêtement, est-ce qu'il vaut mieux être saoul à droite ou chauffard à gauche? Il faut tout de même raisonner...
Je n'ai pas pu freiner à temps et ma voiture a embouti l'autre véhicule. Le conducteur et le passager sont partis immédiatement en vacances avec blessures.
Messieurs, je tiens à vous préciser que la blessée Mlle X est bien ma femme, mais pour ce qui est de sa panne corporelle je ne donnerais aucune suite. Je ne prends donc intérêt qu'en ce qui concerne la réparation de ma voiture que j'ai besoin journellement.
J'avais passé la journée à magasiner pour des plantes et je retournais chez moi. En arrivant à une intersection, une haie s'est dressée devant moi, m'a bloqué la vue et je n'ai pas vu venir l'autre voiture.
Je vous témoigne un grand mécontentement vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c'est toujours avec celui d'avant que je paye les dégâts de celui d'après, alors n'est-ce pas que ça n'est pas sérieux de votre part.
Je me trouvais en 2ème vitesse quand ma voiture fit un tête à queue en marche arrière tout droit dans le ravin que j'avais l'intention d'éviter cet accident malgré ce que vous dites je ne suis nullement responsable et souligner que je ne suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.