Proverbes japonais, page 0

La pluie tombe toujours plus fort sur un toit percé.

Sept fois à terre, huit fois debout.

Une rencontre n'est que le commencement d'une séparation.

Si tu crois tout ce que tu lis, tu ferais mieux de ne pas lire.

Même la pensée d'une fourmi peut toucher le ciel.

Quand la lune est pleine, elle commence à décliner.

Le meilleur miroir ne reflète pas l'autre côté des choses.

La mort est à la fois plus grande qu'une montagne et plus petite qu'un cheveu.

Les mots que l'on n'a pas dits sont les fleurs du silence.

Le sac des désirs n'a pas de fond.

"On ne peut pas chasser le brouillard avec un éventail.

S'il va dehors, même le chien peut rencontrer le bâton.

L'eau prend toujours la forme du vase.

S'il travaille pour toi, tu travailles pour lui.

Sur un cerisier mort, on ne trouve pas de fleurs.

Celui qui confesse son ignorance la montre une fois ; celui qui essaie de la cacher la montre plusieurs fois.

Ne suivez jamais les traces du malheur, il pourrait bien se retourner et faire volte-face.

Que deux hommes se fâchent, et leurs chiens feront de même.

Si vous cherchez la source du fleuve, vous la trouverez dans les gouttes d'eau sur la mousse.

Les enfants grandissent, même sans parents.

On ne peut admirer en même temps la lune, la neige et les fleurs.

Les poussières qui s'amassent forment une montagne.

L'absent s'éloigne chaque jour.

Les bonnes doctrines peuvent se passer de miracles.

La vie humaine est une rosée passagère.

Le malheur peut être un pas vers le bonheur.

Nul n'a raison contre la colère du seigneur ni les larmes d'un enfant.

Le malheur peut être un pont vers le bonheur.

Ce qu'un homme ne dit pas est le sel de la conversation.

Les enfants sont un fardeau éternel.